This is very special to me, I only listen to it once in a while when I really need to. It's definitely an experience to close your eyes and just listen. Ayane Fukumi
la prise de sédatifs a fait progressivement perdre à goreshit toute conscience de lui-même ; dans i hardly knew you., c'est la conscience de l'autre — ou peut-être même des autres, de ceux à qui il dédiait tout un album en février — qui disparaît. si goreshit retourne sur du breakcore, faisant espérer plus de vivacité, les ambiances assez dépressives et ternes font perdre tous repères. les breaks subissent des arrêts brusques ou des effets d'affaissements. un album troublant comme les semantics. Jordan Vauvert